Moi-même

Nom : CHATELAIN

Prénom : Jérémy

Age : 26 ans (en perpétuelle évolution)

E-mail : chatelain.j@gmail.com

Adresse : Aucune

Tel : Aucun

Métiers : Commis de cuisine, employé de ferme, ramasseur de fruit et/ou légumes, peintre, jardinier, serveur, barman, traducteur, référenceur, bloggeur, caissier, employé polyvalent, contrôleur, … Je fais un peu tout ce qui se présente à moi !

Passion : Le voyage dans tout ses états

La naissance d’un globe trotter

J’étais étudiant en licence informatique à l’Université de Bordeaux 1. J’avais déjà échoué deux fois à l’examen, certainement par manque de travail et trop de laissé aller, et j’avais perdu ma motivation à poursuivre mes études.

Durant la 3e tentative, je me concentrais plus sur un concours pour rentrer dans la fonction publique que sur mes études. Malheureusement (ou heureusement) je l’ai raté de très peu et je me retrouvais dans une impasse. J’avais perdu confiance en moi, je ne savais pas trop ce que je voulais faire, la traditionnelle recherche d’identité et remise en question.

J’ai toujours aimé voyager et je me suis dis pourquoi pas partir quelques temps l’histoire de me remettre les idées claires. Dans mes recherches pour une destination je suis tombé sur le Working Holiday Visa (Visa Travail Vacance) et je me suis dis « pourquoi pas ? ». J’ai donc fais ma demande pour le WHV Australie sans trop de plans ni d’espoir. Le lendemain, je recevais un email comme quoi j’étais retenu et dans la foulée je réservais mon billet pour le pays des kangourous.

Mais, même si la première étape est la plus difficile (on ne le sait pas quand on l’effectue), le fait de partir en voyage ne fait pas de nous un globe trotter. Pour cela, il faut rentrer dans l’état d’esprit du globe trotter, ne plus se préoccuper des petits soucis quotidiens du voyage, garder son enthousiasme et sa curiosité intactes pour partir à la découverte de nouveaux pays ou tout simplement de nouvelles choses, et relativiser quand à sa condition en tant qu’individu. J’ai mis environs 3 mois à effleurer ses concepts et bien plus d’un an à les réaliser. D’ailleurs, petit test du destin quand j’ai compris que je voulais voyager plus longtemps, j’ai reçu une lettre m’indiquant que j’étais reçu au concours … Dommage, mon choix était fait, la route m’avait conquis.

Ma façon d’être un globe trotter

« Le monde est un livre et rester chez soi, ce n’est qu’en contempler la couverture« 

J’ai ouvert mon livre en Novembre 2008 lors de mon premier grand voyage vers l’Australie. Je comptais rester 6 mois, puis rentrer suivre une voix plus traditionnelle. Mais rapidement je suis tombé amoureux de ce mode de vie et depuis je vadrouille sur les routes du monde.

Je voyage à mon rythme et sans être non plus un panier percé, je dépense mon pécule au gré de mes envies. D’ailleurs, gagner les ressources nécessaires à la continuité de mon voyage me prend le plus clair de mon temps. Mais quelle importance quand on sait que quelques mois plus tard on sera dans la forêt vierge indonésienne, dans un temple au Népal ou dieu sait ou !

Maintenant, j’essaie de prendre la vie comme elle vient profitant de ce qu’elle m’apporte (parfois un peu provoqué) et relativisant sur les mauvaises passes. De toutes façons avec le temps que les bons souvenirs restent ! Dans ma tête, j’ai les grandes lignes de mon voyage et des tonnes d’idées, de rêves et d’envies. J’aimerai pouvoir suivre les grandes lignes en réalisant mes idées et mes rêves dans les circonvolutions du mouvement tout en profitant des opportunités qui se présentent. J’espère que vous comprenez cette phrase car moi j’ai du mal mais je la laisse car j’y ai casé le mot « circonvolutions ».

Voilà donc ma ligne directrice de conduite mais encore une fois rien n’est gravé dans la roche !

Trouver sa façon de voyager

On est tous différent et on a tous des envies et des objectifs différents lorsqu’on voyage. C’est pour ça il est important de trouver le rythme qui vous corresponde et pour ça il n’y a pas 36 façons de faire, il faut expérimenter. Certains aiment quand il y a du mouvement ne jamais s’arrêter, visiter et passer à la destination suivante. D’autres préfèrent rester de longues périodes au même endroit quitte à sacrifier certaines visites au profit d’une meilleure immersion. Ensuite, votre moyen de transport fétiche, les bus locaux pour vivre le quotidien des habitants, les bus touristiques symboles de sécurité et confort, l’avion confortable et rapide, l’autostop pour favoriser les rencontres ou encore la marche ou le vélo pour les sportifs ou téméraires. Enfin, choisissez votre mode d’hébergement favori. Êtes vous Hôtel, Guesthouse, Auberge de jeunesse, camping, dormir chez des locaux ?

Toutes les combinaisons sont possibles et mes propositions ne sont que des exemples. Tout change en fonction de vos humeurs (même si on a quand même nos préférences) et avec le temps vous pouvez très bien évoluer et changer vos préférences. Bref, il est important de trouver ce qu’il vous convient au moment ou vous voyager pour avoir une meilleure appréciation du reste.

Pour ma part, je suis amateur de bus locaux en dormant dans des Guesthouses ou auberges de jeunesse voir chez les locaux de temps à autres. J’aime faire des choses et bouger mais régulièrement je me pose une semaine pour « souffler » et savourer le plaisir de ne rien faire.

J’ai essayé de voyager en stop et je suis pas un inconditionnel, les bus touristiques j’en voie pas vraiment l’intérêt et je me sens pas à mon aise dans les hôtels. J’ai encore jamais fait de grands trajets en vélo ou à pied, mais j’espère pouvoir m’y essayer un jour prochain.

Le mot de la fin

Ou plutôt les mots ! En fin de compte, il faut garder à l’esprit que les seules limites sont celles que vous vous imposez. Le voyage c’est la totale liberté, mais évitez de faire des choses trop stupides et ayez conscience des bases du développement durables.

Voilà mes conseils et si vous avez des questions sur n’importe quel sujet ayant trait au voyage, n’hésitez pas à m’envoyer un mail : chatelain.j@gmail.com

@ bientôt sur les routes du monde

Jérémy

Article rédigé par Jérémy

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